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N° 26 du 1er au 15 octobre 2024

image-20241018065738-1.png L’activité de l’ASLV reprend son rythme de croisière, avec des randos plus ou moins difficiles le mardi et des faciles à moyennes le vendredi. On peut constater le besoin des adhérents anciens et nouveaux de reprendre les sentiers car les effectifs des randos sont considérables, jusqu’à plus de quarante le vendredi. Cela est d’autant plus remarquable que le Club vélo de Tony a encore frappé en emportant quelques uns de nos valeureux marcheurs étant aussi de valeureux cyclistes en Espagne (encore !) à Peniscola (j’ai fait le jeu de mot oralement, je ne le ferai pas par écrit).

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image-20241003074010-11.png C’est ainsi que le mardi 1er de ce bon mois d’octobre j’ai guidé 16 marcheurs de Cabrières aux « crêtes du Vissou » pendant que Denis en a promené 17 de Cessenon aux berges de l’Orb. Si je compte bien, 33 adhérent(e)s ont amorti ce jour là une partie de leur cotisation grâce à cette nouvelle formule consistant à faire deux randos de difficulté différente le même jour.

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Le Vissou est la montagne fétiche de Cabrières à tel point que l’on en trouve la maquette au caveau. Ce qui nous permet, après avoir dégusté quelques crus de la région, de refaire le chemin parcouru sur ce plan en relief.

Nous l’avons donc gravi, en montant directement par le côté le plus raide. Quelques randonneuses ont frôlé le malaise mais je passe sur cet incident car elles ont été bien assistées et se sont retrouvées en pleine forme en arrivant au sommet. Après une descente pentue et caillouteuse nous passons près de l’aire de départ des parapentes. Nous trouvons non loin de là, un glacis herbeux avec table et bancs et belles vues panoramiques pour pique-niquer.

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Le retour, descente raide, chemins empierrés, remontées dans la garrigue, nous ramène au village et au caveau. Nous avons parcouru 13 km avec 600 m de dénivelé positif cumulé.

Cependant Denis, en partant du site où l’on fait notre journée grillades, a régalé son groupe en le faisant gambader sur les rives rocheuses de l’Orb jusqu’à Réals. Traverser le fleuve (mais oui, c’est un fleuve) sur le joli pont de Réals pour aller casser la croûte sur l’aire de Réals et finir sur la terrasse de Cessenon. Ils auront tout même parcouru 14 km et approché les 200 m de dénivelé, qu’ils en soient félicités.

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image-20241003074010-11.png Mais ce Denis, quand va-t-il se reposer ? V’là t‘y pas qu’il reprend les rênes vendredi 4 pour nous guider sur le parcours au nord de Montady. Ce parcours de 10 km et 150 m de dénivelé nous fait découvrir ce beau village et son environnement spécifique. Nous sommes 25.

Montady, ce village situé à l'ouest de Béziers porte bien son nom. C'est une vigie dominant la plaine; ça monte et ça monte encore par des rues abruptes mais aussi par des escaliers raides. Le village d'origine construit près d'une source qui coulait près du cimetière actuel a été déserté pour revivre 500m plus bas.

Cette randonnée que Denis apprécie particulièrement nous fait découvrir en chemin quelques croix de mission millésimées 1848 et nous amène au sanctuaire dédié à Notre Dame de Bon Secours situé dans un petit bois de pins, havre de verdure, qui domine la commune de Maureilhan. La chapelle située sur cette commune a été construite en souvenir de cette tragédie qui toucha de 1857 à 1858 un bon nombre d'habitants. En effet, le terrible choléra fit vingt et une victimes en 12 jours provoquant le désarroi de toute la population. Cette épidémie venue de l'Inde, propagée par l'eau, fit dans l'Hérault de gros ravages. Plus de 100 morts à Montpellier et autant à Béziers, 154 à Sète, 8 à St Chinian. Par contre les villages de Capestang, Cazouls les Béziers et Puisserguier en furent épargnés par miracle. Mais Maureilhan fut le village  du département le plus touché par cette pandémie. C'est avec les fortes chaleurs d'août 1854 que le choléra fit le plus de victimes dans l'Hérault. Les formules magiques, l'huile de Gabian, les frictions au vinaigre, les emplâtres, les compositions chimiques des apothicaires ne firent pas diminuer l'expansion de cette maladie contagieuse.

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Les messes et les prières y firent-t-elles quelque chose ? Mais pour toutes les douleurs on vénère les saints et les habitants de Maureilhan, sous l'égide du curé Millau décidèrent d'un accord unanime la construction de cette chapelle en 1877. Le village fournit tous les matériaux et la main d'œuvre. Les dons affluèrent et beaucoup de vignerons vendirent des hectolitres de vin pour financer en partie cet ouvrage religieux. Une petite grotte vouée à la Vierge Marie a été construite l'année suivante de la construction de la chapelle, en contrebas de l'édifice sur un terrain du domaine St Paul. Cette chapelle du Bon Secours fait partie de la paroisse Notre Dame des Vignes de Maureilhan, village situé à 800m. On y célèbre encore des offices et des mariages et elle éclaire de toute sa spiritualité quelle qu'en soit la saison, ce petit bois de pins. Lieu idéal pour faire une première pause.

Nous reprenons le chemin, le beau temps est de la partie, notre retour orienté par la vue de la tour qui surplombe le village. Cette tour du XIIème siècle est le seul vestige qui entourait le château féodal. Ce castel fortifié mesurait 60m de long sur 40m de large. Il possédait un fossé qui faisait 5 à 6m de profondeur. Ce  château féodal dominait de ses 25m de hauteur  les 500 ha de l'étang qui n'était pas encore asséché. Lors de la croisade des Albigeois en 1209, les croisés de Simon de Montfort venant de bruler Béziers passèrent à Montady et détruisirent le château et le bourg abandonné par ses habitants. Bien plus tard,  les habitants du village firent le reste en utilisant les pierres pour construire leurs maisons et leurs 4 églises.

Après une petite montée assez raide, nous voici sur le chemin qui mène à la Tour en nous offrant de superbes vues sur l'étang asséché de Montady.

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Un peu d’histoire de cet étang enrichira notre culture, vous savez, celle que l’on étale, comme la confiture ! L'archevêque de Narbonne soucieux de la santé de ses fidèles fit assécher en 1247 ce lieu insalubre infesté et salé. Pour se faire, de nombreux canaux de drainage convergent vers le centre: le Redondel. Sa géographie de parcelles rayonnantes appelées "pointes" fait penser à un soleil. Des fossés drainent les eaux dans un collecteur. De là, par une galerie taillée sous le Malpas, l'eau s'écoule dans le ruisseau la Clavilongue vers l'ancien étang de Capestang, lui même asséché au 19ème siècle. Ce site concentrique, véritable prouesse de l'époque, est connu de toute l'Europe. Il permit lors de l'arrivée du phylloxéra en 1870-1880 l'inondation des vignes en détournant l'eau du Canal du Midi afin d'en préserver les ceps. Site unique car il n'y en a pas d'autres lieux identiques en France et en Europe.

La vue de cet étang depuis la colline d'Ensérune ou du puech de Montady est inoubliable car ses couleurs changent à chaque saison selon le cépage des vignes.

Et voilà, nous ‘avons plus qu’à descendre pour retrouver nos véhicules à moteurs thermiques au parking de la rue des muriers. Merci Denis pour cette intéressante randonnée et merci à JC d'Oc pour les données historiques.

 

image-20241003074010-11.png Le Mardi 8 c’est au tour de Jean-Louis de nous guider sur un parcours qu’il a créé lui-même. En partant du  Parking du Domaine de l’Hospitalet il nous emmène à la Chapelle des Auzils, nous fait déjeuner sous la Tour de Guet et retour. Il s’agit d’une boucle de 15 km et 400 m de dénivelé. Nous sommes 16.image-20241018170108-1.pngLe Domaine de l’Hospitalet c’est quoi ? Je vais vous le dire : - c’est le Château L'Hospitalet qui dispose de 41 chambres spacieuses et modernes pouvant accueillir 2 à 4 personnes et donnant sur le parc ou les vignobles. Rénovés en janvier 2017, les hébergements sont équipés d’un minibar et d’une télévision par satellite à écran plat. Leur salle de bains comprend une baignoire ou une douche et des articles de toilette éco certifiés gratuits. Deux petites bouteilles d'eau et du vin vous seront offerts pour chaque séjour effectué.

C’est également Gérard Bertrand.

La quête de l'excellence dans le respect de la biodiversité et des principes de la biodynamie

La naissance d'une passion pour le vin et la biodynamie. C’est en 1975, dans les vignes du Château de Villemajou, au cœur des Corbières, que Gérard Bertrand fait ses premières vendanges et découvre sa passion pour le vin. Il perfectionnera son apprentissage durant douze années aux côtés de son père Georges Bertrand. Nous sommes aujourd'hui à la quatrième génération de viticulteurs, de Paule à Georges, puis Gérard Bertrand et enfin Emma & Mathias. Très attaché aux valeurs de la performance et de l’excellence apprises sur les terrains de rugby, Gérard Bertrand poursuit sa quête : révéler les meilleurs terroirs de sa région et les promouvoir dans le monde. C’est dans cet esprit qu’il reprend le flambeau familial au Domaine de Villemajou après le décès accidentel de son père en 1987. Cinq ans après, il crée la société des vins Gérard Bertrand afin de développer une gamme de vins du Sud de la France. Il rachètera les années suivantes le Domaine de Cigalus et le Château Laville Bertrou. Les nouvelles pépites et l'enrichissement de la diversité des vins Gérard Bertrand.

L’acquisition en 2002 du Château l’Hospitalet, dans le parc naturel de La Clape, entre Narbonne la romaine et la Méditerranée, permet à Gérard Bertrand d’acquérir une nouvelle dimension. Depuis, la belle histoire continue et de nouvelles pépites aux terroirs emblématiques du Languedoc viennent enrichir la vision et la diversité des vins Gérard Bertrand.

Note du Baroudeur : Si vous êtes appâtés par ce bel endroit il faut savoir que les chambres du château coûtent un peu plus de 500€ la nuit en octobre. Mais environ 200€ de moins en novembre. Cette générosité qui doit être due à l’extinction du chauffage de la piscine s’ajoute aux petites bouteilles d’eau, du vin et des toilettes éco certifiés offerts gratuitement. Quand au vin Gérard Bertrand, allez voir le site, vous serez édifiés !

En regardant derrière nous au-dessus des falaises qui surplombent le décor, nous apercevons une tour surmontée d’une grande boule noire c’est le Radar TRAC 2400 de la base aérienne du

Plan de Roques sur le massif de la Clape pour la surveillance et défense aérienne.

L'armée de l'air dispose, en permanence, d'une situation aérienne générale du territoire, lui permettant de savoir quels sont les appareils survolant le pays. Elle est capable de réagir, à tout moment, à une éventuelle menace. Elle adopte, en effet, une posture permanente de sûreté visant à assurer, notamment, la défense aérienne du territoire national. Moderne et ouverte vers l'extérieur, la surveillance radar du territoire est en constante évolution. La détection aérienne nationale repose, tout d'abord, sur un vaste réseau de radars militaires et civils.

Pour les amoureux des subtilités de la langue française je vous rappelle que le mot « radar » est un palindrome car il peut se lire dans les deux sens, de gauche à droite ou de droite à gauche. Vous avez également « Ésope reste ici et se repose » ou encore « La mariée ira mal ». Certaines phrases palindromes sont devenues célèbres, telle « Noël a trop par rapport à Léon » ou l'énigmatique « Tu l'as trop écrasé, César, ce port-salut », ou encore « Elu par cette crapule », qui serait de l'invention de Marcel Duchamp.

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Bon, revenons à notre randonnée, nous quittons le parking pour nous diriger, à travers garrigues et forêts de pins jusqu’à la Chapelle des Auzils. Nous y faisons une pause, nous surplombons les escaliers longés par les tombes du « cimetière marin ». Ce sont des tombes vides élevées à la mémoire de marins péris en mer. Pour les amoureux de la langue française, Jacqueline P nous rappelle que ce sont des « cénotaphes » nous n’en verrons que quelques uns d’en haut car nous ne descendrons pas pour remonter, économie physique avant tout, il est important de garder des ressources pour le retour. Retour qui nous dirige sur la « Tour de guet : La Vigie ». De ce point culminant, la surveillance continue du massif, en été, permet de donner l’alerte rapidement en cas de départ d’incendie. Au XVIIIe siècle, la Clape accueillait d’immenses troupeaux de moutons. Cette activité, qui a disparu au XXe siècle, est de nouveau encouragée car elle permet de débroussailler les milieux naturels et de lutter ainsi contre la propagation du feu. Savez-vous que la vigne est également un coupe-feu efficace. Qu’est-ce que l’on en apprend des choses intéressantes grâce à la Gazette de l’ASLV !

C’est au pied de cette Vigie que nous prenons le repas de midi. Heureusement que je n’ai pas le vertige car pour m’assoir il n’y avait plus qu’une pierre à 5 cm du bord de la falaise. Nous noterons qu’il n’y a aucune complaisance pour le Président…

Après le repas, Jean-Louis me propose de rallonger un peu l’itinéraire ce que j’accepte car il est important de bien profiter d’une telle journée. Nous noterons que Jean-Louis est respectueux de l’avis du Président…

De retour aux voitures, Jean-Louis nous prévient que l’on va s’arrêter en chemin sur un parking élevé d’où l’on a de belles vues vers la mer. Alors, on se gare, on va voir la vue, c’est beau … Allez, on s’casse ! (ça c’était pour le souvenir de Coluche).

 

image-20241003074010-11.png Il est prévu que je reprenne le manche vendredi 11 pour faire la rando mythique qui mène à ce quartier peu connu de  Sète, la « Pointe courte ». Je suis un peu anxieux car je me suis fait promener deux fois sur ce parcours par Laure et Sonia mais il ya longtemps et je ne suis pas sûr de trouver le bon Parking ni de suivre le bon itinéraire. J’ai peu de temps pour aller le reconnaître. Alors j’appelle Laure au secours et elle accepte de m’accompagner malgré ses contraintes familiales actuelles. Elle est trop sympa notre Laure, je ne la remercierai jamais assez.

Nous voici donc partis sur un parcours de 9 km dont le seul dénivelé est du à une descente et remontée d’escalier pour la traversée du canal de Sète. Nous sommes 33.

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Depuis le parking de la Nautique, nous commençons par faire le tour de la presqu’île du Barrou et nous continuons de longer l'étang de Thau jusqu’au Canal de Sète, passons sous le pont mobile de la voie ferrée et traversons le canal par l’autre pont mobile pour arriver à la Pointe Courte.

L'étang de Thau appelé aussi lagune de Thau ou encore bassin de Thau, est le plus grand plan d'eau de la région Occitanie. Il a une superficie d'environ 7 500 hectares et une profondeur moyenne de cinq mètres, le point le plus profond étant la source de la Vise, aussi appelée trou de la Bisse, qui atteint la profondeur de 32 m. La longueur maximale entre Balaruc-le-Vieux et Les Onglous atteint plus de 19 km. La largeur minimale, entre les pointes de Balaruc et du Barrou, est de 1 300 mètres. Le volume des eaux de la lagune est de 340 millions de m3.

La Pointe Courte, pendant très longtemps, cette petite langue de terre située à l’Est du canal reliant l’étang de Thau à la mer a appartenu à la commune de Frontignan. En 1805, La Pointe basculera dans le giron de la commune de Sète. Grâce à la voie ferrée (Tarascon - Bordeaux) pour créer le passage des rails, les roches, sables et déblais, sont envoyés sur ce coin désert… Petit à petit les 12 000 m2 vont être créés. Ils s’étendirent sur 2,5 hectares environ pour une longueur de 260 mètres et une largeur variant de 30 à 100 mètres. Ces conditions de vie précaire serviront de terreau à une union entre familles. Ils vivaient là à l’écart de la chose publique, sereins, contemplatifs, ténébreux, bucoliques(*).

>1954 double création Club football et du Comité des fêtes.

>1964 eau courante, gaz, électricité.

>1968 - téléphone - Achat des lots de 4 x 6 mètres, au prix de 25 le m2. (1000 francs le lot, soit 1584 ) Ils deviennent propriétaires d’un ou plusieurs lots sur lesquels sont déjà construites leurs maisons.

>1971 Création de l’échangeur, un très haut mur qui bouche l’horizon côté ville et isole La pointe Courte. Mais le quartier gagne aussi un accès routier sécurisé au pied de cette rampe >1955 Le collectif sera mis à contribution pour le tournage du film « La Pointe Courte » avec Silvia Monfort et Philippe Noiret.

(*) Si vous n’avez pas reconnu ce vers de Brassens, moi si ! Je pense que vous vous en doutiez.

Il s’agit du tout début de sa chanson « Les trompettes de la renommée »…

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Après ces précieuses explications fournies par Jacques F. il reste à vous dire que nous avons retrouvé avec bonheur ce quartier de Sète si particulier avec ses amas de filets de pêche, ses cabanons hétéroclites, ses chats en liberté mais entretenus. Il y a aussi les citations accrochées aux maisons telles que : « Il vaut mieux vivre dans le trou du cul du monde que dans un monde de trous du cul » ou « Quand le goéland se gratte le gland, il fait mauvais temps, s’il se gratte le cul, il fait pas beau non plus »… Et des allusions à Georges Brassens qui parait-il aimait ce coin. 

Nous choisissons une terrasse au bord du canal pour boire un verre et faisons le chemin à l’envers pour retrouver nos bolides, les cœurs sont bousculés, nostalgiques mais heureux comme à chaque visite de ce quartier et du beau chemin qui longe l’Etang de Thau.

Merci Laure, sans toi on serait encore en train de tourner dans les ruelles du Mont Saint Clair !

                                                      

image-20241003074010-11.png Miracle ! Mardi 15  La randonnée de Jean-Luc n’est pas reportée, le temps nuageux nous a fait peur mais ça va, les nuages et la brume se contenteront de donner un cachet poétique au paysage. Nous partons donc joyeux pour le village « Le Puech » qui se situe entre Lodève et le Salagou pour faire la randonnée « le Cayroux » qui fait 12 km et environ 400 m de dénivelé. Nous sommes 18.

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Nous partons à la découverte de dolmens, capitelles enclos de pierres en traversant un paysage de ruffes, étonnante terre aux couleurs rouges. Dans ces dunes de ruffes nous découvrons des bandes rectilignes claires de quelques centimètres de larges très intrigantes car il est difficile de comprendre comment elles ont pu se faire. Surtout quelles sont perpendiculaires aux strates horizontaux du terrain. Nous apprécions le charme de la Chapelle St Agricol. Arrivés sur les hauteurs nous découvrons un paysage magnifique de montagnettes laissant voir par endroit des parties du Salagou.

A la pause les chouquettes de Jean-Luc sont les bienvenues. Pour le déjeuner nous sommes accueillis par un grand pré semé de roches et pierres pour poser nos postérieurs.

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A l’arrivée, c’est un plaisir supplémentaire de parcourir les ruelles du village, propres et bien entretenues.

Merci Jean-Luc tu as fait des marcheuses et marcheurs heureux.

Note du Baroudeur : Si nous avions eu la pluie, Pierre Dac aurait dit " Il vaut mieux qu'il pleuve un jour comme aujourd'hui plutot qu'un jour où il fait beau."

image-20241003074010-11.png Courrier des lecteurs

Notre amie Yvette est souvent la première à réagir :

Toujours autant de plaisir à lire ta gazette, avec l aide de Lilly. On découvre des lieux inconnus et le tout avec beaucoup de bonhomie et d'humour.
Bravo et merci.   Yvette

Jean-Paul D. réagit au sujet de sa rando du DEVOIS

Jamais j'ai loupé le sentier...tout ça pour parler de son GPS inférieur à mon flair.

Sylvie P. nouvelle adhérente venue en Espagne

Coucou Alain Un grand merci pour la Gazette qui reflète la bonne ambiance et les activités du séjour hispanique ! Merci aussi pour les mentions spéciales nous concernant. 

 

image-20241003074010-11.png Humour

 

Comme en termes élégants ces choses là sont dites ...

 Une nuit, le lexicographe Émile Littré est découvert par sa femme
    alors qu'il est en pleins ébats avec la domestique.
     L'épouse s'exclame :
     - Oh, comme je suis surprise !
     - Erreur, madame : vous êtes étonnée, c'est nous qui sommes surpris !

À l'opéra, quelqu'un demande à Casanova quelle actrice est à ses yeux est  la plus jolie. Le séducteur en désigne une ... mais son voisin s'insurge :
   - Elle a de vilaines jambes !
   - Monsieur, dans l'examen de la beauté d'une femme, la première chose que j'écarte ce sont les jambes.

Anne d'Autriche reproche au maréchal de Bassompierre :
    N'avez-vous pas honte, à votre âge, de faire encore la cour aux jeunes femmes ?

    Regardez comme vos cheveux sont blancs…
    Je suis comme les poireaux : la tête blanche mais la queue verte.

En 1959, Maria Callas rend publique sa liaison avec le milliardaire
     Aristote Onassis, de vingt ans son aîné.
    On lui demande :
     - Qu'est-ce qui vous a séduit chez Aristote Onassis ?
     - Il est beau comme Crésus.

 Et la petite dernière qui concerne Edgar FAURE.
     Dans le train, bien calé dans son siège, il contemple la jolie femme
     installée en face de lui.
     Celle-ci l'interpelle : "Pourquoi Monsieur me dévisagez vous ainsi ?
     Et Edgar FAURE de lui répondre : Madame, je ne vous dévisage pas, je
     vous envisage...!

Suite à tous ces bons mots celui du "Baroudeur"

Un général en retraite rencontre dans une soirée mondaine une vieille Marquise qui fut sa maîtresse. Celle ci, lui donne un petit coup d'évantail et lui dit " mon vieux complice ! " et le Général réponds " la peau de mes c....s aussi ! ".

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image-20241003074010-11.pngSpectacle

 Bonjour, 

La compagnie "SERSAU" jouera "Un Ouvrage de Dames". Le Vendredi 25 octobre à RIOLS salle des fêtes à 18h00. Le Dimanche 27 octobre à Graissessac au café Mounis à 17h00. Entrée libre. A bientôt, cordialement, Cie SERSAU.

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Christian CROS Président de la « Ligue contre le Cancer », est aussi un adhérent de l'ASLV. Donc en allant voir ce spectacle, vous faites d'une pierre trois coups :

  1. Vous aidez la recherche contre le cancer.
  2. Vous contribuez à la solidarité des adhérents de l’ASLV
  3. Vous passez une super soirée …  

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Ainsi s’achève le numéro 26 de LA GAZETTE DE L’ASLV, en espérant que sa lecture vous aura intéressés je vous dis : « à bientôt sur les chemins, et sur les pages des prochaines GAZETTES ».

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NOTA : D'autres photos correspondant à ces évènements ainsi que les dernières gazettes sont visibles sur le site valrasrandosloisirs.

La Gazette de l’ASLV 

Rédacteur : Alain BRUNEL Président ASLV dit BAROUDEUR

Assistante de rédaction : Liliane BRUNEL RIBAS dite LILI MORENA

 

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