La Gazette de l'ASLV n°17 FEVRIER 2024

 La Gazette de l’ASLV

N° 17 du 1er au 29 FEVRIER 2024

  En février on vous a « fait vriller » ! (*) Vous avez d’ailleurs commencé à vriller très fort en vous jetant sur les crêpes à l’arrivée de la première rando du mois. J’avais prévu de vous  dire quelques mots mais en vous voyant si préoccupés je me suis empressé de les garder pour moi, avec tout de même un peu de tristesse car j’ai compris votre dénuement. Bien sûr, l’inflation galopante actuelle a dépassé les dix pour cent depuis une année entière et c’est seulement maintenant que nos retraites ont été augmentées de cinq pour cent. Alors,  lorsqu’un peu de nourriture nous est offerte, il est logique de ne pas la laisser passer…

Nous avons vrillé aussi par une innovation le mardi suivant. En effet nous avons tenté une doublette (pas de pétanque) en organisant deux randos, une difficile et une facile. Ce fut un succès comme vous le verrez plus bas. A refaire !

Nous avons vrillé encore par une "rando journée" un vendredi au Barrage des Olivettes.

(*) Je dois reconnaître que ce n’est pas de moi, c’est issu d’une pub de « CELIO » mais je n’ai pas pu résister…

Vendredi 02: PORTIRAGNES “autour de la Maïre” avec Marc – dénivelé 50m – 9kms – 

Il y a au moins cinquante marcheuses et marcheurs pour faire ce tour de la « Maïre ». Il fait beau, le ciel est bleu, il n’y a pas de vent. C’est un grand plaisir de parcourir les chemins plats qui sillonnent autour des marécages et plans d’eau pour finir par longer le « canal du Midi ». On aperçoit des flamands roses et d’autres oiseaux blancs. Tout est plaisir et en prime les crêpes que nous avons préparées nous attendent avec le cidre et les compléments offerts par l’ASLV et installés par Laurette et Serge.

Mardi 06 : PEGAIROLLES DE L’ESCALETTE avec Alain Baroudeur – dénivelé 850 m – 15,5 kms – DifficiMerci Marc pour cette agréable ballade. Merci Laurette et Serge pour l’organisation.le. Nous sommes dix et c’est un régal. Les demandeurs de randos « difficiles » en demandent d’autres comme celle là ! Et même pire …

Lorsque nous sommes sur une corniche, en haut de la falaise qui surplombe l’autoroute, l’émotion est à son comble.

Et FONTES : « entre vignes & volcans » avec Denis  – dénivelé 400 m – 12,5 kms – Moyen. Une rando toujours appréciée car elle se termine à la coopérative de Fontes. On y trouve d’excellents crus du Languedoc et l’un des meilleurs rosés de l’Hérault.

Avant d’y arriver, il faut tout de même parcourir les 12.5 km et gravir les sommets des collines. La première grimpette a convaincu notre charmante trésorière et sa collègue de rando  de s’en tenir là, elles sont donc retournées au village et l’ont visité en attendant le reste du groupe.

Merci Baroudeur et Denis, tous ont pris plaisir à parcourir ces itinéraires. Il faut noter que grâce à cette initiative 18 adhérents de plus sont sortis ce mardi !

Vendredi 09 : AGDE « le Golf » avec Sonia  – dénivelé 100 m -11 kms – Moyen. Nous sommes 25, c’est pas mal. En voiture, juste avant d’arriver, nous sommes passés devant l’Ephèbe et de nombreuses adhérentes en furent toutes émoustillées. De curieux soupirs ont envahi mon véhicule...

Dans ce coin qui pourtant m’est familier je découvre un bâtiment sportif grandiose contenant une piscine, c’est le point de départ et d’arrivée. Sonia nous fait faire une rando atypique du bord de Mer à la ville du Cap d’Agde dépeuplée. Les parisiens, vêtus ou pas, ont rejoint la capitale. Nous allons jusqu’au centre où, quelques mois auparavant, il y avait une foule énorme à l’occasion de la braderie annuelle. Il reste tout de même quelques boutiques ouvertes, une d’elle arbore de séduisants dessous féminins mais nulle randonneuse ne cède à la tentation. L’Ephèbe n’aurait’ il pas été assez convaincant ?

Sur cette place grouillante de cafés et restaurants en saison nous n’en trouvons qu’un seul d’ouvert. Nous passons près de la triste grande roue obstinément immobile pour nous y rendre, la terrasse est pleine, nous sommes donc accueillis à l’intérieur. Heureusement, grâce à la négociation de Sonia le prix des consommations est presque raisonnable. Ne soyons pas étonnés, nous sommes au Cap d’Agde. Pour conclure cet épisode de la pause café, ce bistrot ne connaissait pas le « galopin » (la moitié d’un demi de bière) alors quelques habituées à cette mesure ont dû consommer un demi. Du coup deux d’entre elles, éméchées, nous ont animé le retour. Preuve que nous sommes une troupe sobre, il en faut très peu pour nous émouvoir.

Le retour se fait sans encombre en partie sur le même itinéraire puis en s’écartant vers le parcours de Golf.

Merci Sonia, c’est vraiment un parcours à connaître et nous avons fait 12km !  

L'Éphèbe d'Agde est une statue antique en bronze, de 1,33 m de haut, datée du ii siècle av. J.-C., conservée au musée de l'Ephèbe et d'archéologie sous-marine d'Agde. Elle a été découverte dans le lit de l'Hérault, face à la cathédrale Saint-Étienne d'Agde, en 1964 par Jacky Fanjaud, membre du GRASPA (Groupe de recherches archéologiques subaquatiques et de plongée d'Agde). Elle est exposée au musée de l'Éphèbe à Agde, dont elle est l'œuvre majeure.Elle évoque le style du sculpteur Lysippe de Sicyone et, du fait de certains attributs et conventions iconographiques, pourrait représenter Alexandre le Grand.

Mardi 13 : GRUISSAN « Ile St Martin » avec Denis – dénivelé 250 m – 14 kms – Moyen. Nous sommes une quarantaine, un record ! C’est toujours un plaisir de retrouver Gruissan et ses environs. Le tour de l’Ile Saint Martin offre une grande variété de vues exceptionnelles, sur la mer, les marais salants, le village des chalets (37.2° le matin…), et la tour qui émerge au dessus de la ville.

Pour déjeuner Denis avait prévu de descendre jusqu’au site du « Chinois ». Quelques uns l’ont suivi, mais les plus malins, constatant qu’il faudrait remonter ont préféré s’installer sur le plateau. C’était le Mardi Gras et quelques unes ont coiffé de très originales coiffures de carnaval. De plus, veille de Saint Valentin nous avons failli assister à des effusions, mais chut ! Ça ne nous regarde pas …

En passant par un village de pêcheurs délabré on apprend que notre Denis national y vendait du poisson, que nous cache-t-il d’autre ? Nous verrons au cours des prochaines randonnées …

Merci Denis c’était une bonne rando, dommage que tu n’avais plus de poisson frais !  

Vendredi 16 : VAILHAN “barrage des Olivettes” avec Alain - dénivelé 250m - 12 kms – Moyen. C’est la deuxième sortie à la journée du vendredi avec repas tiré du sac –Nous ne sommes que 16, la pluie prévue n’est pas venue mais les craintifs non plus ! Dommage, je souhaitais depuis longtemps faire découvrir cette rando au plus grand nombre. Bon, nous la referons un autre vendredi avec une météo plus clémente.

Première constatation dès le départ, la sécheresse a bien réalisé son œuvre, le cours d’eau provenant de la sortie du barrage n’est plus qu’un mince, triste et ridicule filet d’eau. En juillet dernier, au cours d’une reconnaissance il y avait une belle rivière qui formait un étang, il y avait même des baigneurs. De l’autre côté du barrage le niveau d’eau est incroyablement bas.

Le deuxième intérêt de cette randonnée c’est le passage dans le hameau « Paders »de la commune de Montesquieu. Quatre ou cinq habitations entourent une très jolie petite église. Elle est gardée par la statue en bois d’un ange de bonne taille. On peut y entrer et la visiter. A l’intérieur un panneau nous apprend que cinq habitants de ce hameau sont allés se faire occire sur les champs de bataille de 14 /18. Le plus jeune avait 16 ans.

Vers midi un quart nous arrivons sur une accueillante aire de repos avec tables et bancs. Une fois restaurés et reposés nous reprenons les sentiers et découvrons quelques mètres plus loin un sublime point de vue aménagé, protégé par une barrière dominant le barrage.

Pour revenir au départ, nous commençons par rebrousser chemin puis empruntons un sentier qui descend à travers bois.

Merci Alain Baroudeur, nous ne sommes pas mouillés.

L’église St Michel de Paders. Joyau du hameau de Paders, la chapelle Saint-Michel à chevet carré a un étonnant décor polychrome de ses arcades où alternent claveaux en basalte, en grés et en calcaire. Église préromane Xème -XIème siècles, mentionnée en 1098, remaniée au XIVème siècle pour les besoins du culte, avec la construction de l’avant-nef. Voûtement et couvrement remarquables. Restaurée en 1985. Située à 3km de Montesquieu, cette église est placée sous le vocable de l’archange des hauteurs, Michel, ce qui peut sembler quelque peu surprenant dans le cas présent car l’édifice ne se dresse pas sur une partie sommitale mais est niché au creux d’un petit vallon naissant, dit du ruisseau de Paders dominé au nord et à l’ouest par le plateau basaltique de Montesquieu et débouchant dans la vallée de Lène.

Mardi 20 : THEZAN - PAILHES « sentier découverte » avec Jean-Louis  - dénivelé 350m - 17kms – Moyen. Une vingtaine de randonneurs ont suivi Jean-Louis. Pour ma part, j’ai dû rester au repos sur ordre du rhumatologue.

A Thézan il y a des trompe-l’œil réalisés par l’artiste peintre Olivier Costa, l’illusion produite est parfaite, l’un d’entre eux a même été classé 8^ème au pinceau d’or 2009 (c’est bien, mais ce n’est pas un bâton d’or ASLV ...).

Autres découvertes de ce parcours qui sillonne à travers les vignobles du Nord de Béziers : - La chapelle de l'Immaculée-Conception de Montalauru, datant de 1855.- Le château de Saint Martin des Champs – Le village de Pailhès avec son château médiéval accolé à son église paroissiale de St Etienne – Et le village de Puimisson un ancien castrum situé en bordure de la voie antique Béziers-Lacaune et de l’aqueduc romain qui amenait l’eau à Béziers.

Merci Jean-Louis pour cette visite de la campagne biterroise.

Vendredi 23 : PUISSALICON « sentier de Roujau » avec Denis – dénivelé 150m – 10 kms –

Nous sommes 26 en comptant parmi nous une nouvelle recrue - Annie, qui a retrouvé par le plus grand des hasards, une amie d’enfance parmi nos adhérentes - Marie-Jo C.

Au départ dans Puissalicon nous louvoyons autour de l’impressionnant château féodal et son église du XIIème qui dominent le village. Perché sur un coteau du Haut-Libron, situé à 15 km au nord de Béziers, Puissalicon est entouré de sept collines.

Après avoir quitté le village nous apercevons au loin, dans le cimetière, le plus ancien monument de Puissalicon encore en bon état, sa tour romane du x^e siècle. D'inspiration lombarde, elle mesure 26 mètres de haut et elle est classée monument historique. Il s'agit d'un clocher, seul reste de l'église romane initiale.

Nous parcourons alors une grande boucle d’une dizaine de kilomètres sur des chemins qui montent et descendent sur les collines environnantes. Proches de l’arrivée, la vue sur l’intégralité du village nous saute aux yeux, superbe triangle avec son château au sommet. La rando se termine par le retour aux voitures.

Nous avons appris entre temps que les gens du pays font preuve d’humour et de dérision car lorsque l’on parle de ce village, ils disent en patois : « A PUISSALICOUN YA MAS DE COUNS QUE DE MESOUNS !» par respect pour les puissaliconnais je vous laisse découvrir la traduction sachant que MESOUNS signifie MAISONS.

Merci Denis de nous avoir fait découvrir une phrase du dialecte local.

Mardi 27 : Abbaye de FONTFROIDE avec Louis  - dénivelé 500m – 15 kms – Moyen. Nous sommes onze, vu la météo, pluie menaçante, froidure et vent violent, ce n’est déjà pas mal car  6 courageuses et 5 courageux ont tout de même suivi Louis. Pour moi, c’est une rando particulière parce que la toute première ayant suivi mon inscription à l’ASLV. Je ne me doutais pas que j’en serais responsable un jour de cette association.

Après une bonne montée Louis nous fait faire un aller retour pour que nous  puissions voir l’Abbaye depuis la hauteur. Là, il nous commente l’histoire de ce site somptueux. C’est un bâtiment magnifique, nous ne le reverrons qu’à la fin du parcours, parcours qui se déroule principalement sur de larges pistes un peu boueuses et dans la forêt de conifères. Nous verrons quelques superbes cèdres et toutes sortes de pins, tous plus ou moins déformés par le vent violent de cette région. En s’éloignant du départ nous pouvons voir au loin, sur notre droite le château « St Martin de Toques ». En revenant vers l’Abbaye, nous longeons l’Etang de Bages. Un peu avant l’arrivée nous passons par une petite tour, nous sommes sous la Croix de Fontfroide perchée tout en haut des monts.

Nous rejoignons le parking en passant par la boutique de l’Abbaye.

Merci Louis, pour avoir réussi à nous régaler malgré le mauvais temps.

L’Abbaye de Fontfroide est une abbaye cistercienne située sur le territoire de la commune de Narbonne, dans le département de l'Aude en France. Initialement abbaye bénédictine (1093), elle est intégrée à l'ordre cistercien entre 1144 et 1145. Dans la seconde moitié du xii^e siècle, elle reçoit d'importants dons en terres d'Ermengarde de Narbonne, puis au milieu du xiii^e siècle, d'importants dons en terres et en nature d'Olivier de Termes qui lui permettent de réaliser de nouvelles constructions. Pendant la croisade des Albigeois, elle fut le fer de lance de l'orthodoxie catholique. Au xiv^e siècle, l'un de ses abbés, Jacques Fournier, est élu pape sous le nom de Benoît XII. L'abbaye est classée à partir de 1862 au titre des monuments historiques². Aujourd'hui, l'abbaye de Fontfroide est membre de la Charte des abbayes et sites cisterciens d'Europe. L'abbaye de Fontfroide est actuellement un monument privé détenu par les descendants de Gustave et Madeleine Fayet.

Le château de St Martin de Toques Construit à l’époque féodale, le Château de St Martin de Toques devait servir à protéger la route qui conduit de la vicomté de Narbonne aux Corbières. Dès 978, St Martin apparaît en tant que château fort. Il appartient à la vicomtesse Adélaïde de Narbonne. Tout au long du moyen-âge on le découvre dans de nombreux textes, toujours sous la dépendance des vicomtes de Narbonne. La chapelle, mentionnée seulement en 1360, semble avoir une origine plus ancienne. La cour dont l’arc est légèrement outre passé rappelle les constructions cisterciennes des XIème et XIIème siècles. Rapidement le château dut avoir un cercle de maisons dans les environs, sur les flancs de la colline. Si l’on peut considérer les murs du nord-est comme témoignages de l’époque médiévale (tour octogonale et ronde, chapelle), on peut penser que le reste du château a subi des modifications profondes au cours de la Renaissance (logements, salle des gardes, entrée). Cette rénovation correspond à l’arrivée de seigneurs importants : les familles milanaise d’Alezio et Castiglione, qui s’installent dans le pays Narbonnais à la suite du Cardinal de Ferrare, alors abbé de Fontfroide. En 1709, six foyers existaient à St Martin en dehors du château. A la révolution, la paroisse sera supprimée. Au XVIIIème siècle, le château semble avoir été abandonné comme lieu de résidence ; ses propriétaires habitent Narbonne et une demeure modeste est édifiée au pied de la montagne. Tas de ruines imposant, il fut racheté et restauré, dès 1990. Il est aujourd’hui une demeure particulière.

Pendant ce temps, « L’APPEL DE LA FORÊT »

Le périple de Joseph Garrigues et Françoise touche à sa fin. Ci-dessous le message de Joseph. Nous lui souhaitons un bon accueil à Paris en espérant que cette traversée de la France portera quelques résultats positifs.

47ème étape aujourd'hui... c'est pour Françoise et moi, la dernière marche, celle de notre montée sur Paris. Ce périple nous a conforté dans la lutte contre toutes formes d'empoisonnement de la terre, à commencer par les pesticides. Le constat hivernal est désolant... où sont passés les grandes bandes d'alouettes des champs, les bandes de fringilles, chardonneret, verdier, serin cini, linotte... haies arasées ou maltraitées à l'épareuse... Nous avons croisé trop de détresse humaine aussi, recueilli trop de témoignages de personnes affectées par la maladie ou la perte de proches à cause des pesticides. Mais il y a aussi de l'espoir, des femmes et des hommes qui se battent au quotidien, qui espérent et qui contribuent à un monde meilleur, plus respectueux de notre environnement. On peut regarder les étoiles, rêver d'aller vivre ailleurs, rêver d'autres formes de vie, mais cela ne nous exonère pas de respecter toutes les formes de vie sur terre, avec tous ces terrestres extras ! Allez, il est plus que temps de passer à l'agro écologie, on va y arriver ! Pour conclure en solidarité, en convergence des luttes, rdv avec ceux qui voudront le 2 mars à 14h à l'académie du climat à Paris, et avec la confédération paysanne place de la république jusqu'à 19h !

Courrier des lecteurs

Commentaire de Danielle LIPPENS sur la Gazette n°16 :

Merci Alain pour cette gazette pleine d'histoire d'amitié et d'humour.

Commentaire de Jean-Marc sur la rando de Jean-Louis à PAILHES le 20/2/24.

 Bonsoir - Photos de notre super balade bucolique conforme à la description de difficulté entre les amandiers en fleurs. Toujours le beau temps en partant sous l’œil d’un Altocumulus lenticulaires à barbe (nuages d’ondes façonnés par le relief), qui témoignent de l’approche d’un front froid. Content de retrouver nos amis Jacqueline et Gilbert nullement effrayés par la distance. Merci à notre ami Jean-Louis qui a imprimé un pas et des poses au plaisir des randonneurs.

 Note du rédacteur : Bravo pour  « l’Altocumulus » nous sommes friands de culture météorologique. Concernant les « poses » ôte moi un doute, avez-vous posé pour des photos, ou avez-vous fait des « pauses » ? …

 Mots d’auteurs

 Humour toujours

 

Spectacles à ne pas manquer

Annonce de Jean-Paul. 

  

Rappel du spectacle de mon amie Alice : 

Anniversaires à souhaiter en février

Sous le signe des Poissons :

Fina FOURNIER le 6, Pierre GIL le 8 et Martine SIDOBRE le 13.

Le cœur sur la main ce sera vous, avec tout ce ciel réuni dans votre signe. Une vraie mère Teresa, même si, comme Glenn Close a pu le montrer au cinéma, un Poissons n’est jamais à l’abri de se métamorphoser.

Sous le signe du Bélier :

Georgette GUINOT et Nicole CAUWET le 23 (la même année)et Jacqueline PIGNOL le 24.

Davantage de sorties, de loisirs, de folies… Mars et Vénus en Verseau vous ont transformées en personnage de Gatbsy le Magnifique ! Profitez-en avant que la saison des Poissons ne vous engloutisse de son éternelle nostalgie.

Ainsi s’achève le numéro 17 de LA GAZETTE DE L’ASLV, en espérant que sa lecture vous aura intéressés je vous dis : « à bientôt sur les chemins, et sur les pages des prochaines GAZETTES ».

NOTA : D'autres photos correspondant à ces évènements ainsi que les dernières gazettes sont visibles sur le site valrasrandosloisirs.