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La Gazette de l’ASLV 
N° 14 du 1er au 30 novembre 2023
A l’occasion de la dégustation du vin primeur de notre région je me suis lancé dans mon premier discours de la saison 2023/2024. Un extrait va me servir d’introduction pour cette 14ème gazette, ainsi ceux qui n’ont pu être présents en seront informés et ceux qui l’ont entendu pourront le lire et le méditer :
« Mes chers amis,
La dégustation du vin primeur c’est la première manifestation sortant du cadre des randos hebdomadaires de la saison à laquelle les nouvelles et les nouveaux inscrits vont pouvoir participer. Je pense que logiquement ils sont venus nombreux. Comme tous les anciens ils se sont inscrits pour marcher mais ils ne reculeront pas devant une petite collation offerte. Alors, je leur souhaite la bienvenue ! Et, je profite de ce petit laïus pour les informer sur L’Esprit de l’ASLV.
L’Esprit de l’ASLV, ce n’est pas moi qui l’ai formé. Pendant une bonne quinzaine d’années l’association a été créée et dirigée par Marc et Sonia. Ce couple a fait fonctionner le groupe avec le souci de le rendre amical et dynamique, sans maniérisme, « à la bonne franquette », tutoiement de rigueur, convivialité, bonne humeur et sportivité. Les deux randos hebdomadaires avec l’aide des guides leur ont permis de faire connaître en profondeur la région. S’ils ont mis le mot Loisirs dans le sigle c’est aussi pour ouvrir l’association à d’autres activités. Les loisirs, c’est le tourisme, les sorties en autocar, les séjours de quelques journées à une semaine pendant lesquelles randos et tourisme se mélangent. Les loisirs c’est aussi les randonnées particulières, suivies d’une dégustation de vin primeur, d’une grillade, de galettes, de crêpes et même parfois de vin chaud. Nous sommes dans une région viticole…
Alors un grand MERCI et BRAVO pour Marc et Sonia.
L’Esprit de l’ASLV il est aussi imprimé par les guides de randos qui sont pour la plupart des anciens de l’association. Ce ne sont pas des professionnels, ils ont acquis l’expérience en parcourant inlassablement la région, à pied mais aussi en voiture et parfois, pour certains, à vélo. La plupart des randos guidées sont précédées d’une reconnaissance. Ils ne comptent pas leur temps, ce sont des bénévoles. Alors, si parfois ils nous conduisent sur un sentier imprévu et qu’ils soient amenés à nous faire revenir en arrière, par conséquent à rallonger le parcours prévu, nous ne devons pas leur en vouloir, même s’ils nous ont fait descendre et qu’il est dur de remonter. Il faut le prendre avec bonne humeur, et se dire qu’après tout, un peu plus de sport ça ne peut pas faire de mal.
Donc, un grand MERCI et BRAVO pour les guides de rando.
L’Esprit de l’ASLV il est évidemment conservé grâce au Bureau et à ses membres. Denis, le secrétaire en permanence sur tous les fronts, vous aurez forcément remarqué la vitesse à laquelle vous recevez les photos. Ce n’est qu’une petite partie de ses attributions. Isabelle, la Trésorière dépense nos sous avec bon escient et parcimonie. Mon ami corse m’a dit : « avec Parcimoni, un corse comme moi, d’accord, mais Bonécian, un arménien ? Ah, non ! ». Jean-Luc, responsable Loisirs suit ses affaires de bout en bout, sa devise : « Je ne lâche rien ! ». Et l’Adjointe trésorière et Loisirs, Laurette aidée par Serge, son mari, comme vous pouvez le constater, n’a pas son pareil pour nous préparer et présenter un buffet en plein air. Mais elle ne fait pas que ça, la gestion des chèques, par exemple est un travail fastidieux et chronophage (décidément, ce mot me plaît). Pour cette raison, je vous rappelle notre demande de privilégier les virements.
Donc, un grand MERCI et BRAVO pour les membres du Bureau.
Enfin l’Esprit de l’ASLV il est porté par ses adhérents. Les anciens sont plus que des collègues, ce sont des amis. Je peux vous citer le cas actuel d’un de nos anciens qui suit un traitement de radiothérapie et de chimio. Sur « WhatsApp » (car nous sommes dans le coup !), un groupe s’est formé pour le soutenir en communiquant avec lui. L’ASLV, c’est donc un grand groupe amical, une famille.
Alors, auto-applaudissements pour nous-mêmes, les adhérents.…/… ».
Sans transition (comme disent les journalistes) passons à l’inspection des activités du mois.
Sonia nous a promenés au Parc de Campane vendredi 3. Nous sommes 25, bel effort ! Ce grand espace de collines partiellement boisées se situe après Narbonne, on peut y aller sans prendre l’autoroute, on passe alors par Nissan-les-Ensérune, Coursan et la ceinture Nord de Narbonne.
Une grande place en terrain vague pour se garer et nous voilà partis. Une belle montée dans la pinède, on a rapidement de belles vues sur Narbonne. A l’aller et au retour nous traversons une magnifique allée d’oliviers. Pour avoir une vue élargie de ce paysage grandiose, un petit groupe a grimpé sur un rocher indiqué par Sonia qui a attendu en bas avec le reste de l’équipe. Peu avant d’arriver au terme du circuit, nous avons eu la chance de rencontrer un petit hérisson qui gambadait sous le museau d’un gentil canidé.
Merci Sonia, à la prochaine ! …
Mardi 7 Jean-Luc nous emmène à Roquefort des Corbières. Nous découvrons alors un paysage très différent car nous montons sur les contreforts des Corbières tout en gardant la vue sur la Mer. Face à nous, on peut voir l’Etang de Leucate, Port la Nouvelle, La Palme et La Franqui. Sur l’itinéraire nous rencontrons des bornes romaines situées dans un joli vallon. Deux bornes milliaires de 2,70 mètres de hauteur, vieilles de plus de 2 000 ans, de l’époque d’Auguste, s’érigent fièrement. Le milliaire, c’était l’unité de mesure romaine valant mille pas. Le terrain en surplomb bordé d’une barrière en bois est l’endroit idéal pour faire la photo du groupe.
C’est à partir d’ici qu’un léger cafouillage partant de l’idée généreuse de diminuer l’effort d’une partie du groupe, a eu pour résultat de l’augmenter. Cela fait partie des aléas dont j’ai parlé dans mon discours ci-dessus. Pour rattraper cette erreur, Jean-Luc assisté de Jean-Paul, nous ont gratifiés d’une impressionnante course de montagne faisant huit bons kilomètres dans un temps record.
Pour pique-niquer nous avons choisi au bord du chemin une aire parsemée de petits rochers dont les arêtes saillantes n’ont pas épargné nos postérieurs. Bien sûr, ceux qui trimbalent leur petit tabouret pliant n’en on pas souffert, notamment notre ami Marc qui est même équipé d’un petit plateau porte verre.
La fin du parcours du type montagne russe avec paysage époustouflant s’est passé sans encombre.
Merci Jean-Luc, ce fut une belle découverte.
Vendredi 10, il y a foule autour de Denis pour faire le tour des Orpellières.
Le Domaine des Orpellières est situé à l'embouchure de l'Orb, partagé entre les communes de Valras et de Sérignan. Cet espace de 150 hectares, acquis par le Conservatoire National du Littoral en 1980, est constitué d'une plage, d'un cordon dunaire de 2,5 km et d'une vaste zone de prés salés. Plusieurs espèces animales et variétés végétales s'y épanouissent.
Les autos sont garées sur une aire de parking à proximité de la Plage de Sérignan. Le groupe part sur le littoral et longe la mer en direction de l’Orb, passe sur une plage de naturiste « heureusement déserte », remonte ensuite le long de la rive gauche de l’Orb pour arriver à la Maison de Orpellières et ferme la boucle en arrivant aux voitures.
Ci-après, quelques explications afin d’être en phase avec notre photographe Monique et Eléna.
« Orpellières signifie… “Orb pelé” : normal, c’est l’ancien delta de l’Orb (ce fleuve côtier s’est déplacé plus à l’ouest, à Valras-Plage, pour se jeter dans la Méditerranée). L’Orb – ainsi baptisé par le géographe et historien grec Strabon – a donc laissé au temps le soin de créer : une plage, un cordon dunaire, de vastes prés salés et des sansouïres, où une ribambelle de plantes et d’animaux aux noms bizarres (l’euphorbe péplis ou le psammodrome d’Edwards, ça vous dit quelque chose ?) ont trouvé leur bonheur. »
Merci Denis pour ce bon bol d’air…
Mardi 14 nous retrouvons Jean-Louis, il nous guide à Malavieille. Nous sommes à nouveau une vingtaine, c’est formidable, pourvu que ça dure !
« En même temps », comme on dit à Paris, vous n’avez rien à craindre nous n’avons pas fait de « mal à la vieille ».
Bon, soyons sérieux, les GPS sont parfois vraiment extraordinaires. J’ai demandé « Malavieille », et il a écrit : « Mérifons », vous le croirez si vous voulez mais c’est à Mérifons qu’il fallait aller !... C’est à deux, trois kilomètres de l’extrémité ouest du Salagou. Belle rando dans les canyons rouges de la commune de Mérifons, digne d’un décor américain. Du parking du site paléontologique de La Lieude, nous empruntons un chemin qui passe devant des troncs d’arbre faisant du « hula hoop » puis devant la Chapelle St Fulcran pour nous mener aux ruines du Castelas de Malavieille (XIIIème Siècle).
« Les plus anciens indices sont des noms de personnes, une famille dite de Malavieille étant attestée dans les textes à la fin du XIe siècle. Le nom Castellas n’est bien sûr jamais employé: ce terme récent ne désigne les lieux que depuis leur ruine. C’est en revanche le mot castrum qui est utilisé à partir du XIIe siècle, mais il est alors impossible de savoir s’il s’agit d’un château seul ou avec un village autour comme c’est souvent le cas à partir de l’an mil, lorsque de nombreux habitats se perchent pour faire face à une insécurité nouvelle. Ce n’est qu’à partir du milieu du XIVe siècle que le village castral est attesté avec certitude par les textes. Au Xe siècle le grand évêque de Lodève serait né à Lignous et aurait été baptisé à Mérifons, deux lieux situés dans la commune. C’est, semble-t-il, à ce moment-là que la seigneurie passe sous l’influence des évêques de Lodève, comme ce sera le cas jusqu’à la Révolution. Au XIIIe siècle, la dernière héritière de la famille seigneuriale de Malavieille épouse un membre des Guilhem de Clermont. Malavieille devient alors une coseigneurie détenue par les familles de Faugères et de Clermont. Ce site fortifié surplombe le hameau de la Lieude, au bord du vieux Cami Ferrat, dont le nom rappelle qu’on y prélevait une leude ou péage. Au milieu du XIVe siècle, le territoire seigneurial englobait environ 200 habitants, dont on peut supposer qu’une forte proportion vivait au castrum. L’étendue de l’enceinte qu’on distingue encore dans les broussailles, supérieure à un hectare, va en effet dans le sens d’un site assez important. Entre le XVe et le XVIIe siècle, la population migre vers les hameaux constituant encore de nos jours l’habitat dispersé des environs. Le principal bénéficiaire de ce mouvement est sans doute le Mas Canet ou Canet-le-Noir, dénomination qui proviendrait des Clermont-Nigri, seigneurs de Malavieille ainsi que du Bosc à partir du XVe siècle. C’est probablement un membre de cette famille qui abandonne, lui aussi, le castrum. Il en est déjà ainsi au XVIIe siècle, époque à laquelle le Castellas est en ruines et inhabité. Seule une tour de l’ancien château reste couverte au milieu. »
A mi-descente nous nous installons pour déjeuner sur l’herbe, face au soleil, c’est super ! Le reste de la descente est un peu périlleux mais nous nous en sortons sans encombre. Le circuit tourne autour du Castelas que l’on peut admirer sous tous les angles. Les vues dégagées tout au long du chemin sont superbes.
Nous retrouvons nos véhicules et n’oublions pas de s’arrêter à l’Intermarché de Clermont l’Hérault pour le miel.
Merci Jean-Louis pour cette magnifique randonnée.
Le vendredi 17, chose promise, chose due, nous goutons le « vin primeur » de la région. Mais avant, il faut digérer le repas de midi, pour cela, Marc nous fait faire un joli parcours. En partant de la Capitainerie du Chichoulet, nous allons longer l’Etang de Vendres et obliquer vers la Mer, c’est alors par la plage que nous revenons au point de départ. « Nous partîmes quarante ; mais par un prompt renfort - Nous nous vîmes septante en arrivant au port ». J’aurais pu dire soixante-dix mais il faut bien faire un peu plaisir à nos adhérents (et néanmoins amis) belges.
Là, un superbe buffet préparé et dressé par Laurette et Serge aidés de Sonia et Isabelle nous attendait. Pour gouter et faire passer ce vin primeur de la cave de Portiragnes, qui n’est « pas mal du tout ! », il y avait tout le nécessaire. Dès que tous furent restaurés, j’ai pu placer mon discours. Les applaudissements ont résonnés jusqu’à la nuit tombée (17h30). Repus et heureux, nous sommes rentrés à la maison.
Merci Marc pour la randonnée. Laurette et Serge pour le buffet. 
Le lendemain, samedi 18, c’est le Cabaret de Magalas qui a réuni une cinquantaine d’adhérents. Organisé par Sonia, ce fut une magnifique soirée. Le « Show-bizz » de Magalas n’a rien à envier au Lido, Folies Bergères, Moulin Rouge, Paradis Latin et autres lieux de perdition de Paris.
Nous voici arrivés au 21, jour de la randonnée que j’ai reconnue avec Denis. J’en ai parlé récemment : « Un dernier mot pour vous rappeler ce qui nous attend. Mardi prochain, concernant la rando que je guide à ST NAZAIRE DE LADAREZ, ayez à l’esprit qu’il s’agit tout d’abord d’une randonnée normale de 14km et 600m de dénivelé. Il se trouve qu’elle est en forme de huit et que le déjeuner aura lieu au même endroit que le départ et l’arrivée ».
Le message est bien passé, car tout le monde, une trentaine, a bien compris qu’on pourra laisser le casse croute dans les autos et partir avec des sacs à dos plus légers. D’autres que je félicite chaleureusement, en ont profité pour s’essayer à une rando du mardi, sachant qu’ils pourraient faire seulement celle du matin ou bien de l’après-midi. Oui, je les félicite et je les remercie car pour moi, l’un des principaux objectifs de l’ASLV c’est « dAns le Sport s’éLeVer ». A force de marcher régulièrement le vendredi, vous finirez par trouver cela trop facile et vous viendrez faire les plus faciles du Mardi, puis les moyennes… Et, qui sait ? Vous finirez par être de celles et ceux qui râlent quand il faut attendre les traînards.
On retiendra de cette rando :
De la première partie, l’ascension jusqu’à la Chapelle qui débute dès la sortie du village, est rude, je l’avoue mais arrivé là haut le panorama est l'un des plus impressionnant de la région.
Du pique-nique une place du village offrant un espace idéal, équipé de tables et de bancs où tout le monde a trouvé sa place.
De la deuxième partie, la montée à un oppidum romain qui nous ouvre le panorama sur l’autre coté de cette belle région.
On oubliera de cette rando que le Président a mal géré son garde manger ce qui lui a valu de se retrouver très malade. Mais je n’oublierai pas de remercier Manu 
qui m’a rendu un grand service en conduisant mon auto.
Le vendredi 24, Gruissan avec Sonia. On commence à bien connaître mais on ne se lasse jamais car il s’agit d’un bel endroit. Cette fois ci, la vingtaine qui n’a pas reculé se souviendra longtemps des rafales du vent.
On le sait bien, la région narbonnaise est venteuse, on le vérifie parfois… à tel point que les narbonnais sont appelés « têtes plates » par les biterrois et perpignanais. Du coup, pas rancuniers, ils ont créé une bière :
« La bière des Têtes Plates tire son nom de l'histoire de notre région : l'Occitanie ! Et nous en sommes fiers ! Pourtant sa signification reste encore inconnue !
Certains évoquent les bérets plats que portent nos anciens, d'autres parlent du vent qui, soufflant tellement fort et souvent, aplatirait nos têtes...
Mais voilà la véritable histoire : Au milieu du XIXème siècle, pendant la saison morte des champs et de la vigne, les gens d'ici près de Narbonne attendent dans les cafés que l'hiver passe. Mais cela ne plaît pas aux femmes qui veulent mettre leurs hommes au travail ! C'est ainsi que fût créé le métier de cloutier. Ils forgeaient en écrasant la tête du clou afin de l'aplatir ! Cela ne vous rappelle rien ? Regardez l'étiquette de notre bière !
Au plus fort de l'activité, il y a plus d'un siècle, c'est plus de 250 cloutiers de la région qui partaient à la fin de semaine vendre leur production dans les quincailleries des grandes villes. C'était un métier dur et pénible avec des rendements faibles d'où l'expression "travailler pour des clous".
L'histoire ne dit pas ce que buvaient les "Cloutiers"... Mais la légende a sa petite idée !
Voilà comment sont nées les "Têtes Plates Artisans Brasseurs " !
Merci Sonia tu as eu le courage d’affronter le grand vent.
La dernière rando de ce mois de novembre, mardi 28, au départ d’Hérépian, c’est Nadine qui l’a guidée après l’avoir reconnue avec Jean-Paul.
Ils ont bien fait car c’est une nouvelle trace balisée en jaune depuis peu. Elle est variée, vallonnée, offre de belles vues. Des pentes douces nous font faire tout de même plus de 400 m de dénivelé en cumulé. Quelques adeptes du vendredi ont osé se lancer à nouveau ce mardi et ne l’ont pas regretté.
En fait, il s’agit d’une œnorando et Nadine nous a tout expliqué concernant la vinification du raisin produit par les vignes qui nous entourent. Très détaillé, nous avons ainsi appris que les vendanges ne pouvaient commencer que lorsque le grain de raisin à maturité se détache de sa peau sous la dent alors que le pépin est encore craquant. Si ce n’est pas du grand art ça ! En tout cas c’est bien dans l’Esprit de l’ASLV : joindre l’effort à la culture, relayé par la Gazette.
Et casser la croûte dans l'insolite ...
Merci Nadine et Jean-Paul vous avez rajouté un nouveau parcours à notre « randothèque ». Si, ça existe, puisque je viens de l’inventer !
Evolution des projets
Le programme est normal jusqu’au vendredi 8 décembre qui sera une rando de la journée avec repas tiré du sac au Barrage des Olivettes.
Le dimanche 10 décembre nous marcherons pour le TELETHON.
Samedi 16 ASSEMBLEE GENERALE vous avez reçu les invitations.
Mardi 19, la Marche du Père Noël, on met des chapeaux et éventuellement des pulls traditionnels (on peut même s’habiller carrément en Père Noël après s’être fait pousser la barbe) puis on boit du vin chaud.
Et, jusqu’au 5 janvier 2024, on oublie l’ASLV pour s’abandonner aux agapes familiaux.
Vous apprendrez plus tard le programme des manifestations de 2024, mais je peux vous dire d’ores et déjà que la semaine prévue en Espagne au mois d’avril sera reportée en septembre.
Courrier des lecteurs 
Jean-Marc a commenté la rando du mardi 7 à Roquefort des Corbières ; « Voici les résultats de cette jolie rando menée par Jean-Luc.
On s’aperçoit que notre guide par des subtilités qui n’appartiennent qu’à lui nous a offert un parcours raccourci .... par rapport aux prévisions
Le site a permis de faire un tourne over pour 2 repas Ha Ha Ha La La La suite
Soleil et paysages présents tout au long de la journée.
Bienvenue à Chantal qui a vu le baptême du feu ... follet ...
Merci Jean-Luc pour avoir insister sur ce périple qui a été remis plusieurs fois pour cause d’intempéries. »
Il nous fait part également d’un article du Midi-Libre qui fait état de la découverte par des randonneurs, dans le Var, d’une somme de 400 000€. Nous ne sommes pas aussi chanceux, mais Simone a tout de même trouvé 5€ dans des toilettes publiques.
Remerciements
Messsage de Christian Cros, Président de l’Association l’Espoir
Cher(e)s Président(e)s Cher(e)s ami(e)s
Juste ce petit mot pour vous remercier mille fois de votre participation à l’opération OCTOBRE ROSE que notre association L’ESPOIR a organisé sur plusieurs journées d’ octobre dernier sur les différents sites de VALRAS PLAGE et de St THIBERY.
Ce fut une réussite : .Le nombre de participants, -L’ambiance cordiale, festive mais aussi sportive avec des compétitions homologuées par les fédérations concernées,
-Et surtout le montant des recettes dégagé qui s’est élevé, toutes activités confondues et hors dotations des sponsors à 5 202 euros !!!
En plus, ce qui n’a rien gâché, le temps a été de la partie…
Comme vous le savez, l’excédent récolté au cours de cette journée viendra abonder la « cagnotte » que nous remettrons début 2024 au CD 34 de la LIGUE CONTRE LE CANCER. Bien évidemment nous comptons vous revoir lors de la cérémonie de la REMISE DU CHEQUE. Au nom de tous les bénévoles de l’ASSOCIATION L’ESPOIR encore merci et rendez vous, nous l’espérons, en octobre 2024 !!
Le Conseil d’Administration
Le Président C CROS
Mots d’auteurs Sans commentaires …
Spectacles à ne pas manquer
Annonce de Jean-Paul.
La compagnie SERSAU prépare une nouvelle pièce : "Un ouvrage de dames ". Elle sera jouée plusieurs fois en 2024. La Gazette vous tiendra informés des dates et lieux des représentations.
Humour toujours
Anniversaires à souhaiter en décembre
Sous le signe du Sagittaire : Jean Moutarde le 1er décembre
C’est ta saison, mon cher Jean, le Soleil mais aussi Mars sont chez toi, du coup tu pétes le feu … Mais surtout, tu prouves aux autres adhérents que comme les autres octos, tu traverses le temps comme un bon vin.
Sous le signe du Capricorne : Marie-José Cros le 22
Jacqueline Parron le 23
Et Bernard Fournier le 29
L’ambiance est si lourde chez vous cette semaine que vous pourriez en arriver à ne pouvoir marcher que le vendredi. La faute à votre planète qui est en désaccord avec le Soleil mais aussi Mars en Sagittaire. Lâchez la pression.
Ainsi s’achève le numéro 12 de LA GAZETTE DE L’ASLV, en espérant que sa lecture vous aura intéressés je vous dis : « à bientôt sur les chemins, et sur les pages des prochaines GAZETTES ».
NOTA : D'autres photos correspondant à ces évènements ainsi que les dernières gazettes sont visibles sur le site valrasrandosloisirs.
La Cité de Pierres
Olargues
